Soutenez l’association « Share The Wave » à Huanchaco au Pérou !

Share The Wave (Partage La Vague) est active dans la Réserve Mondiale de Surf de Huanchaco (Pérou). L’association propose 3 axes d’activités principaux, centrés autour et liés par le surf (sport aquatique), qui consistent à :

1. Assurer la reconnaissance et la continuité de la culture locale autour du surf, particulièrement de la tradition ancestrale du « caballito de totora » (sorte de pirogue en roseau) de Huanchaco. Le caballito de totora est utilisé par les pêcheurs locaux depuis plus de 3000 ans et est considéré comme l’ancêtre du surf moderne. Le but est d’offrir aux nouvelles générations la possibilité de connaître et préserver l’héritage culturel qu’est le caballito de totora.

2. Promouvoir l’égalité sociale et de genre, ainsi que d’habiliter la jeunesse provenant de classes sociales défavorisées dans un pays où les inégalités restent considérables.

3. Travailler pour le développement durable, la conscience écologique et la protection de la nature. Il existe un véritable problème de gestion de déchets et de pollution par les déchets plastiques au Pérou, ce qui a des conséquences négatives sur la qualité de l’eau sur la côte de Huanchaco. C’est pourquoi, le but est d’aider à remédier aux problèmes de pollution et contamination locales.

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Plus d’infos sur la page facebook de l’association :

https://www.facebook.com/ShareTheWave/

Photos :

https://www.instagram.com/sharethewave_peru/

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Huanchaco

Tourisme

Huanchaco est une station balnéaire, située à douze kilomètres de la ville de Trujillo, au nord du Pérou. Elle tire son nom du mot guaukocha (beau lac aux poissons dorés) et elle est très connue pour ses embarcations de roseaux, appelées caballitos de totora (« petits chevaux de roseaux »).

Actuellement, Huanchaco est devenue une plage très pittoresque qui attire beaucoup de touristes dans la province de Trujillo. Depuis 2011, les archéologues y ont aussi découvert des restes datant de l’époque chimú au XVe siècle, qui en font à ce jour le plus grand site de sacrifice rituel d’enfants au monde.

HCO

Site Archéologique

Le site archéologique de Huanchaco a été découvert en 2011 par Gabriel Prieto, archéologue à l’Université nationale de Trujillo, sur une falaise surplombant l’océan pacifique, dans un quartier de pêcheurs. Plusieurs dizaines de corps d’enfants et de lamas ont été exhumés au cours des années suivantes, et début 2018 la découverte d’un nouveau groupe de corps a porté le total à 140 cadavres d’enfants, 3 d’adultes et 200 de lamas.

La datation par le carbone 14 a permis d’estimer qu’ils ont vécu entre 1400 et 1450, à l’époque de l’empire chimú, dont la capitale Chan Chan est située à moins d’un kilomètre. Les cadavres des lamas sont tournés vers les Andes alors que ceux des enfants (entre 4 et 15 ans d’après le développement des squelettes) le sont vers l’océan et ont le crâne encore rougi par une poudre à base de cinabre, courante dans les civilisations de la côte andine. De plus, les traces de déformation volontaire du crâne chez une partie seulement des individus suggère que les enfants étaient originaires de régions distinctes de l’empire.

Outre la disposition cohérente et l’ornement des cadavres, l’état des squelettes confirme que les défunts ont été sacrifiés rituellement, car la plupart d’entre eux portent des marques d’incision nette au niveau du sternum, à partir d’où le cœur des victimes a été arraché, et parfois remplacé par un tissu brûlé. Ces méthodes rendent le site de Huanchaco unique en Amérique du Sud2.

Les raisons qui ont conduit à un sacrifice d’une telle ampleur, et particulièrement sur des enfants, sont encore incertaines, mais pourraient être liées aux difficultés climatiques liées à un épisode particulièrement fort d’El Niño.

Source : Wikipédia

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Un weekend à Pichilemu

À 3h30 de bus de Santiago, bienvenue à Pichilemu (en mapudungun : petite forêt), station balnéaire de la côte pacifique chilienne bien connue des surfeurs. La plage de Pichilemu est considérée comme l’un des meilleurs sites au monde pour pratiquer le surf, en particulier le secteur de Punta de Lobos, plus au sud, où des séries de vagues défilent à longueur de journées.

Le temps est à la détente en cette fin d’hiver austral, la météo est au beau fixe et il n’y a presque personne. Nous passons 2 jours avec d’autres français dans la petite auberge paisible de la Sirena Insolente faite de containers et de bois. Le lieu est magique.

Petites balades sur la plage, surf, empanadas aux crevettes et barbecue le soir auprès du feu furent les ingrédients de cette excursion.